The spaces are similar or congregate?
I lodge my own landscape of space of somewhere else.
“The space invites us to come out of ourselves, so that it’s no longer just about a physical changing of place in a landscape, but about a mental move.These echanges from inside and outside, from this side and beyond touch.”
The space of each is a fragile place.Transparency, density, strength.The swimmers in the fluidity of a House, we are experimenting with complementary qualities of light: its thickness, its brand, its heat or its cold.We are living through an imaginary compensation system in abstract spaces…
Drawing can be geography. Geography is not limited to the organic world. Geography can draw non drawings.
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Les espaces se ressemblent ou se rassemblent?
Je me loge dans mon propre paysage de l’espace de l’ailleurs.Je dépose mon propre paysage de l’espace de quelque part d’autre.
“L’espace nous invite à sortir de nous-mêmes, alors qu’il n’est donc plus à peu près un changement physique de place dans un paysage, mais à un déplacement mental.Ces echanges d’à l’intérieur et à l’extérieur, de ce côté et beyong toucher. »
Nous sommes avant tout des promeneurs dans des paysages façonnées par notre imagination.
L’espace de chacun est un endroit fragile.Une transparence,une densité,une solidité.Les nageurs dans la fluidité d’une maison, nous expérimentons des qualités complémentaires de la lumière: son épaisseur, son marque, sa chaleur ou son froid.Nous vivons par un système de compensation imaginaire dans des espaces abstraits….
« Le paysage est manière de lire et d’analyser l’espace, de se le représenter, au besoin en dehors de la saisie sensorielle, de le schématiser afin de l’offrir à une appréciation esthétique, de le charger de signification et d’émotions. En bref, le paysage est une lecture, indissociable de la personne qui contemple l’espace considéré. Évacuons donc, ici, la notion d’objectivité.
(“L’homme dans le paysage”, Alain Corbin)
« Habiter une terre, c’est d’abord se confier par le sommeil à ce qui est, pour ainsi dire, au dessous de nous : base où se replie notre subjectivité. Exister, c’est pour nous partir de là, de ce qui est plus profond que notre conscience, de ce fondamental, pour détacher dans le monde environnant les objet auxquels se porteront nos soins et nos projet (…) Nous pouvons changer de lieux, déloger, mais c’est encore chercher un lieu; il nous faut une base pour poser l’Être et réaliser ses possibilités, un ici d’où se découvre le monde, un là-bas où nous allons. »
(“L’homme et la terre”, Eric Dantel)
Dessin peut être la géographie. Géographie n’est pas limitée au monde organique.Géographie peut dessiner des non dessins.
©adarajszys